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jeudi 28 octobre 2021






L'histoire du Morse:


Un super site sur le morse et le TITANIC. Plein d'autre lien sur ce site:
C'est (là)



selon le site  http://aeroradio.free.fr/telegraphie/

Samuel Finley-Breese Morse.


Cet Américain, né en 1791 dans le Massachusetts, fils d'un pasteur, devait consacrer la première partie de sa vie aux beaux-arts. Et comme nous avons tous un passe-temps, lui se passionnait pour la physique et observait avec intérêt les expériences d'électricité. Il imagina rapidement que l'on pouvait tirer parti de l'électromagnétisme pour transmettre des signaux à distance. Il inventa son premier appa­reil télégraphique utilisant un électroaimant, quelques engrenages mus par un mécanisme d'horlogerie et un stylet encré, le tout fixé sur un socle en bois.
En 1837, une expérience en public lui permettait de transmettre, à l'aide d'un code chiffré, son premier message. Il donna naissance à son célèbre alphabet en 1838 et déposa un brevet pour son invention. Il avait sérieuse­ment travaillé la question en décortiquant la langue anglaise pour mettre en évidence les lettres les plus utilisées... et celles qui l'étaient le moins. De là lui est venue l'idée d'affecter aux lettres les plus communes le code le plus simple et réciproquement.

Selon http://aeroradio.free.fr/telegraphie/index.html#bv000001







Le Code Morse:

En fait, lorsque tous les pays ont adopté le code morse dans les années 1850, ils l'ont transformé en Code Morse International. 

Comme on le voit sur le tableau, le code morse est une combinaison de points et de traits grâce auxquels on peut repré­senter tout l'alphabet, les chiffres, les signes de ponctuation et des caractères spéciaux dont on verra le rôle un peu plus loin. Les chiffres peuvent être transmis de façon raccourcie (c'est surtout valable pour les 1, 2, 9 et 0) quand il n'y a aucune confusion possible (c'est le cas lors de la transmission de groupes de contrôles en contest ou des reports en DX : 599 devient 5NN, 5991250 devient 5TTAU5T).
Dans le code morse, l'unité de base est le point. La lon­gueur du trait est égale à trois fois la durée du point. Nous verrons plus loin la précision du "timing" de l'ensemble.
Mais c'est finalement Guglielmo Marconi qui, en 1896, devait déposer, à l'âge de 22 ans, le premier brevet de télégraphie sans fil, la fameuse T.S.F. On allait pouvoir trans­mettre le célèbre code morse par radio. L'émetteur  (oscillateur) fournit une onde "continue" ou, en anglais, Continuous Wave.
Il suffit d'interrompre cette onde, au rythme de la manipulation, pour pratiquer ce que l'on connaît toujours de nos jours sous les initiales C W.

On sait quel usage fut fait, par la suite, de cette inven­tion : les navires étaient équipés d'installations radiotélégraphiques et l'on a pu ainsi sauver des vies à réception du fameux code de détresse.
On a souvent dit que SOS s'entend pour "Save Our Souls" ou "sauvez nos âmes". En fait, ce code à trois lettres a été choisi pour son extrême simplicité : trois points, trois traits, trois points ou ti ti tit, ta ta tat, ti ti tit (on peut rem­placer les ti par des dih et les ta par des dah, cela n'a pas d'importance, ce qui compte c'est le son produit)...



Les outils pour s'entraîner:

Nous avons évoqué les cassettes (ou CD) enregistrés, sur lesquels on trouve des cours préparés suivant une méthode éprouvée. Il existe également des logiciels informatiques et des appareils capables de produire du code morse de façon aléa­toire, suivant certains critères. Nous allons voir les qualités et les défauts de ces systèmes d'apprentissage ou d'entraînement mais d'ores et déjà, on peut affirmer qu'ils sont complémen­taires.
Rappelons qu'il ne faut pas négliger l'écoute du trafic radio réel, si on dispose d'un récepteur. Outre le fait qu'il éduque l'oreille à différentes notes, rythmes, bruits indésirables, c'est le travail le plus motivant, celui qui débouche rapidement sur le véritable plaisir que procure la télégraphie.
Les cassettes et/ou CD enregistrés
Leur avantage ? Il suffit de disposer d'un magnétophone ou d'un lecteur de CD, d'un  casque d'écoute... et on peut même les écouter en voiture, en respectant les précautions d'usage que le bon sens suggère ! On peut facilement revenir en arrière ou, à l'inverse, parcourir la cassette dans l'autre sens.
L'inconvénient ? D'abord, ils sont de plus en plus difficiles à trouver car détrônés par l'informatique. Ensuite, on finit par connaître l'enchaînement de certains groupes et l'on s'habitue à la tonalité de la note. Mais c'est aussi le moyen le moins coûteux.
Dans le même ordre d'idée, on peut facilement transférer ces cours sur un lecteur MP3, peu encombrant et permettant de s'entraîner en tous lieux.


Les logiciels informatiques:
Ils sont très nombreux dont quelques uns en français. Quelques liens sont proposés sur le bandeau droit de cette page. Si les logiciels présentent de nombreux avantages, leur principal inconvé­nient reste lié à l'indispensable ordinateur : on ne peut pas l'emporter par­tout avec soi... sauf si c'est un portable. Avec les logiciels exis­tants, il est possible :

  • de suivre une méthode d'apprentissage complète (souvent basée sur des méthodes classiques réputées fiables, parfois ima­ginées par l'auteur du logiciel) ;
  • de faire lire par l'ordinateur des fichiers textes en ASCII qu'il traduira en morse. Excellent pour l'entraînement ! On peut varier les genres à souhait, lire des fichiers dans des langues étrangères, composer ses propres textes en verlan (ce qui per­ met de résister à la tentation de lire ce que l'on décode) ;
  • de produire des QSO aléatoires en mélangeant des indi­catifs, des prénoms, des conditions de trafic mais en respectant la structure des QSO réels.  Excellent pour s'entraîner si l'on ne dispose pas encore d'un récepteur décamétrique !
  • de changer la tonalité de la note, parfois en cours de dic­tée, d'agir sur la vitesse, là aussi parfois en cours de dictée, de simuler des bruits ou des interférences... :
  • de  permettre  la  mise  en  pratique  de  la  méthode Farnsworth ;
  • d'obtenir un suivi statistique de la progression ;
Certains  logiciels permettent un entraînement à la manipulation, vous  aidant parfois  à calibrer celle-ci.  Il  suffit d'adapter un manipulateur sur le port série ou parallèle de l'ordinateur.

Bien sûr, tous les logiciels n'offrent pas l'ensemble de ces fonctions mais leur gros avantage c'est d'être d'infatigables compagnons qui vous entraîneront à la CW inlassablement, même après l'examen,  vous permettant ainsi d'acquérir de la vitesse
.



Les générateurs électroniques de CW:
Nous avons évoqué les cassettes (ou CD) enregistrés, sur lesquels on trouve des cours préparés suivant une méthode éprouvée. Il existe également des logiciels informatiques et des appareils capables de produire du code morse de façon aléa­toire, suivant certains critères. Nous allons voir les qualités et les défauts de ces systèmes d'apprentissage ou d'entraînement mais d'ores et déjà, on peut affirmer qu'ils sont complémen­taires.
Rappelons qu'il ne faut pas négliger l'écoute du trafic radio réel, si on dispose d'un récepteur. Outre le fait qu'il éduque l'oreille à différentes notes, rythmes, bruits indésirables, c'est le travail le plus motivant, celui qui débouche rapidement sur le véritable plaisir que procure la télégraphie.


Les cassettes et/ou CD enregistrés:
Leur avantage ? Il suffit de disposer d'un magnétophone ou d'un lecteur de CD, d'un casque d'écoute... et on peut même les écouter en voiture, en respectant les précautions d'usage que le bon sens suggère ! On peut facilement revenir en arrière ou, à l'inverse, parcourir la cassette dans l'autre sens.
L'inconvénient ? D'abord, ils sont de plus en plus difficiles à trouver car détrônés par l'informatique. Ensuite, on finit par connaître l'enchaînement de certains groupes et l'on s'habitue à la tonalité de la note. Mais c'est aussi le moyen le moins coûteux.
Dans le même ordre d'idée, on peut facilement transférer ces cours sur un lecteur MP3, peu encombrant et permettant de s'entraîner en tous lieux.


Les logiciels informatiques:
Ils sont très nombreux dont quelques uns en français. Quelques liens sont proposés sur le bandeau droit de cette page. Si les logiciels présentent de nombreux avantages, leur principal inconvé­nient reste lié à l'indispensable ordinateur : on ne peut pas l'emporter par­tout avec soi... sauf si c'est un portable. Avec les logiciels exis­tants, il est possible :

  • de suivre une méthode d'apprentissage complète (souvent basée sur des méthodes classiques réputées fiables, parfois ima­ginées par l'auteur du logiciel) ;
  • de faire lire par l'ordinateur des fichiers textes en ASCII qu'il traduira en morse. Excellent pour l'entraînement ! On peut varier les genres à souhait, lire des fichiers dans des langues étrangères, composer ses propres textes en verlan (ce qui per­ met de résister à la tentation de lire ce que l'on décode) ;
  • de produire des QSO aléatoires en mélangeant des indi­catifs, des prénoms, des conditions de trafic mais en respectant la structure des QSO réels.  Excellent pour s'entraîner si l'on ne dispose pas encore d'un récepteur décamétrique !
  • de changer la tonalité de la note, parfois en cours de dic­tée, d'agir sur la vitesse, là aussi parfois en cours de dictée, de simuler des bruits ou des interférences... :
  • de  permettre  la  mise  en  pratique  de  la  méthode Farnsworth ;
  • d'obtenir un suivi statistique de la progression ;

Certains  logiciels permettent un entraînement à la manipulation, vous  aidant parfois  à calibrer celle-ci.  Il  suffit d'adapter un manipulateur sur le port série ou parallèle de l'ordinateur.

Bien sûr, tous les logiciels n'offrent pas l'ensemble de ces fonctions mais leur gros avantage c'est d'être d'infatigables compagnons qui vous entraîneront à la CW inlassablement, même après l'examen,  vous permettant ainsi d'acquérir de la vitesse.

Les générateurs électroniques de CW:
Ces appareils ont pour but de générer des séries de groupes de caractères aléatoires, pour l'entraînement à la CW. Leur prin­cipal inconvénient ? Il faut d'abord connaître correctement l'ensemble des caractères avant de prétendre les utiliser. Leurs avantages : ils génèrent des séquences aléatoires et, selon les modèles, on peut :

  • faire varier la vitesse,
  • faire varier le rapport trait point,
  • adopter le mode Farnsworth,
  • changer la tonalité.

Par rapport à l'ordinateur, ils présentent l'avantage d'être autonomes et moins encombrants. Plusieurs émetteurs-récepteurs du commerce intègrent également un générateur aléatoire de télégraphie.
Que choisir ?
Seul l'ordinateur, avec ses nombreux logiciels, constitue un système complet, capable de vous apprendre la télégraphie et de vous entraîner ensuite pour acquérir de la vitesse. En effet, certains logiciels "montent" jusqu'à 60 mots/minute. Le géné­rateur électronique est un système qui ne permet pas d'ap­prendre ab initio mais de s'entraîner. Quant aux systèmes audio, comme les cassettes ou les CD, ils présentent l'incontestable avantage d'être simples à utiliser (un magnétophone ou un lecteur de CD suffit) et peu coû­teux. Comme on le voit, les trois sont complémentaires : cas­settes/CD puis ordinateur ou cassettes/CD puis générateur électronique. En tout état de cause, il semble évident que le cours sur cas­sette constitue le meilleur point de départ et le moins onéreux.
Selon http://aeroradio.free.fr/telegraphie/index.html#bv000025

Des liens très utiles

Union des Télégraphistes Francophones et  ses fichiers de leçons
http://utf-cw.eu/topic/index.html

F5JBR Le Code Morse : des fichiers sons pour l'apprendre
http://f5jbr.free.fr/le_code_morse.html

F5IRO Leçons d'apprentissage du Morse - méthode militaire
https://j28ro.blogspot.com/p/lecons-dapprentissage-du-morse-methode.html

Christian F6HWG


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