LA PAGE TECHNIQUE:
Vidéos du Projet 14HAM-DK2
Que l’étain coule à flot !!!
73s
Frédéric - F4JGL.
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UNE ALIMENTATION:
Quelques sites très intéressants:
Air cored inductor calculator
LC Resonant Frequency Calculator
Loading coil calculator
Reactance Calculator (c'est là)
Impedance Matching Network Calculator (là)
Aimentation:
Calcul du condensateur de filtrage. (ici) Une mine d'informations.
INSTALLATION DU LOGICIEL "WSJTX" ET PARAMETRES POUR LE MODE "FT8".
- "SETTINGS".
- "RADIO".
- "AUDIO".
- "TX MACROS".
- "REPORTING".
- "FREQUENCIES".
- "COLORS".
- "ADVANCED".
LA PILE ELECTRIQUE:
IDENTIFIER UNE FICHE, UN CONNECTEUR:
L'ELECTRONIQUE DE A à Z:
Le soleil joue un rôle majeur dans la propagation des ondes radioélectriques, et ceci principalement par l'influence qu'il exerce sur l'ionosphère, une couche de gaz ionisés qui se situe au-dessus de l'atmosphère, entre 60 et 1000 km d'altitude.
Le rayonnement solaire est constitué de plusieurs composantes
- Une composante d'origine électromagnétique
- Une composante d'origine corpusculaire
- Une composante d'origine radioélectrique
L'ionosphère
L'ionosphère selon les cas, peut, soit réfléchir les ondes radio terrestres, soit les réfracter, soit les laisser s'échapper vers l'espace, soit les absorber.
On distingue deux types de trafic DX en fonction de la propagation
- Troposphérique : les ondes se propagent à l'intérieur de la couche inférieure de l'atmosphère appelée troposphère. Les différences de températures en fonction de l'altitude incurvent vers le bas le trajet des ondes qui suivent alors la courbure terrestre et peuvent être reçues beaucoup plus loin. Les signaux sont généralement instables et affectés d'un fort QSB (variations de l'amplitude du signal). Il arrive que la modulation soit déformée et chevrotante. Ce type de propagation concerne essentiellement les bandes VHF et UHF.
- E-sporadique : la couche E est située à une centaine de kilomètres d'altitude. Elle fait partie de l'ionosphère et réfléchit les ondes courtes, permettant de réaliser sur décamétriques des contacts à plusieurs milliers de kilomètres. En temps normal la fréquence maximum utilisable (FMU) pour trafiquer par réflexion sur la couche E est de l'ordre de 30 ou 40 MHz, quand le cycle solaire est favorable. Elle est donc inutilisable en VHF et au delà. Par contre il arrive qu'en certaines saisons des "nuages" ionisés se forment au niveau de la couche E qui réfléchissent les ondes de fréquence très élevées. Quand les fréquences dépassant 144 MHz peuvent être réfléchies il est alors possible de réaliser des contacts à plus de 2000 km avec une puissance de quelques watts et une antenne toute simple (voire un quart d'onde en mobile). La période la plus favorable à ce type de trafic se situe entre mai et juin, les matin et en fin d'après-midi.
Propagation des ondes
Important
L'ensoleillement n'étant pas constant, les périodes de propagation diurnes et nocturnes ne sont pas constantes non plus et varient donc suivant les saisons. Les radioamateurs s'adaptent d'ailleurs à ces variations de propagation et utilisent en général les fréquences plus élevées durant la période printemps-été et les fréquences plus basses dans la période automne-hiver. On parle de propagation d'été et de propagation d'hiver. Cependant, attention, dans la pratique la propagation des ondes est loin d'être régulière et prévisible.
Lors des périodes de forte activité solaire, nous constatons, suivant les fréquences utilisées, soit une propagation des ondes radio anormalement bonne, soit tout le contraire avec l'impossibilité de pouvoir communiquer sur une gamme de fréquences particulières. Une activité solaire importante est en principe toujours intéressante pour les radioamateurs qui peuvent avoir la chance de faire des contacts à très grande distance plus facilement que d'habitude.
En règle générale, en période de forte activité solaire, la fréquence maximale utilisable (FMU ou MUF in english) augmente et autorise des liaisons à grande distance sur les bandes hautes (24 MHz, 28 MHz et 50 MHz, ...) alors qu’en période de faible activité, seules les bandes basses (1,8 MHz, 3,6 MHz et 7 MHz) sont opérationnelles.
Si l'on désire réaliser des contacts longues distances, il nous faut connaître l’état de la propagation. Cette connaissance relève d'études scientifiques sur le flux solaire et l’activité géomagnétique autour de la terre dont les résultats sont édités sous forme d'indices.
C'est en 1749 que l'observatoire de Zurich (Suisse) met en place un registre des tâches solaires. A cette époque H. Wolff était directeur de l'observatoire et c'est pour cette raison que le nombre de taches solaires s'appela "nombre de Wolff" plus connu ajourd'hui sous le nom de "sunspots" (in english encore).
Ces tâches solaires sont dues à des particules élémentaires d'une durée de vie très courte.
Le phénomène d'apparition des tâches serait du à des mouvements tourbillonnaires créants à la surface du soleil des dépressions entraînant des variations de températures. Une autre théorie met en jeu des champs magnétiques...
La Terre
Il y a 2 indices pour quantifier l'activité géomagnétique: l'indice A et l'indice Kp. Ces indices sont issus de nombreux observatoires répartis sur le globe qui mesurent les perturbations du champ magnétique.
La mauvaise nouvelle, c'est que la corrélation entre l'affaiblissement de l'activité solaire et la diminution du champ magnétique de la Terre est avérée. L’affaiblissement du champ magnétique terrestre est 10 fois plus rapide que ce qui avait été suggéré initialement ! Selon l’Institut national des sciences de l’univers, l’ intensité du champ magnétique terrestre actuel diminue en moyenne de 5% par siècle, et cette diminution s’est accélérée brusquement depuis 1840.
Quel peut être l'impact sur la propagation des ondes radio sur le long terme ?
Selon les mesures effectuées en 2014, les résultats confirment la tendance à l’affaiblissement de notre magnétosphère or la propagation des ondes radio (appelée également propagation ionosphérique) de fréquences comprises entre quelques centaines de kilohertz et quelques dizaines de mégahertz est intimement liée à l'état de l'ionosphère.
Les taches solaires dépendent directement de l'état d'activité du soleil. Leur nombre augmente puis diminue suivant un cycle de 11,2 ans en moyenne. Cela sorrespond exactement à la moitié du cycle de 22 ans où le soleil voit ses pôles magnétiques Nord et Sud s'inverser. On a constaté que les taches solaires émettent des champs magnétiques très intenses qui peuvent influencer sensiblement le champ géomagnétique terrestre.
Ceci étant dit, la question est la suivante
- L’indice SFI ou "Solar Flux Index" (indice du flux solaire) témoigne de l’activité du soleil vers la terre, ionisant par la même occasion les couches atmosphériques, donc agissant sur la qualité de la propagation.
- Inférieur à 100 : moyenne
- de 100 à 150 : bonne
- Supérieur à 150 : meilleure
- Inférieur à 100 : ce sont plutôt les bandes basses 3,6 MHz et 7 MHz qui seront opérationnelles.
- de 100 à 150 : on s’accorde à penser que les conditions de propagation HF sont bonnes.
- Supérieur à 150 : les bandes supérieures 24 MHz, 28 MHz et 50 MHz et au delà permettront des liaisons à grandes distances.
Les indices K et A servent à qualifier l’activité géomagnétique de la terre. Un indice élevé indiquera une activité géomagnétique intense. Une activité élevée entraine de très mauvaises conditions radio HF pouvant aller jusqu'au Silence radio (Black out) provoqué par l’atténuation des ondes radioélectriques dans la couche ionosphèrique. Il permet également dévaluer la qualité de propagation mais aussi le bruit de bande auquel nous allons faire face.
- L’indice K relevé toutes les 3 heures représente l'activité géomagnétique à court terme. Il peut varier de 0 à 9 et se comprend comme suit :
- de 0 à 3 : Conditions meilleures, le champ magnétique est stable, le bruit de bande est faible, bonne propagation.
- de 3 à 5 : Conditions moyennes, activité magnétique faible, la bande HF est affectée par du bruit de bande, la propagation est légèrement dégradée.
- de 5 à 9 : Conditions mauvaises, forte activité magnétique ou orage magnétique, bruit de bande important, mauvaise propagation.
- de 0 à 10 Conditions excellentes de propagation et bruit de bande faible.
- de 10 à 20 Conditions moyennes de propagation avec bruit de bande.
- de 20 à 40 Conditions médiocres de propagation et bruit de bande impôrtant.
A quoi ressemblent de bonnes conditions de propagation ?
Les meilleures conditions pour le DX HF sont obtenues dès que l’indice de flux solaire est supérieur à 150 pendant deux ou trois jours au moins, avec un indice SN supérieur à 150. L'indice K devra être inférieur à 3 et l'indice A inférieur à 10.
J'espère qu'il vous sera désormais plus facile de décoder ces fameux indices concernant les conditions de propagation, si importantes pour nous radioamateurs.
Allez, tous à vos micro maintenant ...
L'OSCILLOSCOPE
L'oscilloscope: présentation
- Un oscilloscope, comment ça marche?
- Un scope sur PC
- Utilisation d'un oscilloscope moderne
- Un oscilloscope, est-ce vraiment utile?
- Description d'un oscilloscope moderne
- Utiliser un oscilloscope
L'oscilloscope: présentation
L'électricité demeure mystérieuse car elle est invisible: on peut voir les éléments d'un circuit électrique (l'interrupteur, les fils, l'ampoule...), on peut voir ses effets (l'ampoule qui s'allume, qui chauffe...), mais on ne voit jamais ce qui se passe dans les fils ou les récepteurs, c'est-à-dire à quoi ressemble le mouvement des électrons.
Un appareil, toutefois, permet de traduire en images le mouvement des électrons dans un circuit électrique: c'est l'oscilloscope...
L'oscilloscope est un appareil qui représente un signal électrique sous la forme d'une trace visible sur un écran: le plus souvent, il montre la variation de la tension du signal étudié en fonction du temps.
Grâce au "scope", on peut ainsi observer de visu l'allure d'un signal électrique et son évolution dans le temps...
Cet appareil se révèle aussi indispensable au laboratoire qu'à l'atelier, où il rend les plus grands services tant pour la mise au point que pour la maintenance ou le dépannage, sans parler de son immense intérêt en tant qu'outil pédagogique.
On ne sera pas étonné d'apprendre qu'il existe sur le marché de nombreux modèles d'oscilloscopes, analogiques ou numériques, du plus simple au plus sophistiqué: du bon vieux "simple trace" (en voie de disparition, tout de même...) au rutilant modèle high tech "à quatre traces" relié à un ordinateur, permettant d'étudier simultanément et sous toutes les coutures jusqu'à quatre signaux ultra-rapides...
Un scope analogique standard. Ce modèle d'entrée de gamme offre toutefois de belles prestations: 2 voies, 35 MHz, sensibilité de 1mV - 20V/div, base de temps de 0,2s à 10ns/div, testeur de composants, etc. (Document Hameg.)
Comment fonctionnent ces appareils?
Le filament et la cathode de l'oscilloscope produisent une source d'électrons libres, que des grilles accélèrent et concentrent en un faisceau dirigé vers le fond phosphorescent d'un tube cathodique. Ce faisceau produit un spot, qui est déplacé sur l'axe X par les plaques de déviation horizontales, via l'amplificateur horizontal, et sur l'axe Y par les plaques de déviation verticales, via l'amplificateur vertical. Le faisceau semble donc dessiner une ligne continue, appelée trace. L'écran du tube est quadrillé par un graticule de 10 divisions horizontales et 8 verticales.
Le bouton HOLD OFF permet d'introduire un délai par rapport au moment de déclenchement. Dans la majorité des cas, un débutant se contentera de laisser ce réglage au minimum.
Le réglage TV-separation peut occuper trois positions. Il est utilisé lorsqu'on désire travailler sur un poste de télévision. Attention! La présence de tensions très élevées dans les postes de télévision rend cette opération dangereuse. Elle est donc strictement réservée à des personnels qualifiés. La position correcte de ce réglage est donc OFF.
Voici maintenant l'un des réglages essentiels de l'oscilloscope: le rotacteur TIME/DIV. Il permet de faire varier le temps de balayage de 0,2 seconde à 0,5 µs.
Si on choisit un réglage de 0,2 s/DIV, le spot mettra 2 secondes pour franchir les 10 divisions. Sur la position 0,1 s/DIV, il ne mettra que 1 seconde. A partir d'une valeur de 10 ms/DIV, le spot n'est plus visible de manière ponctuelle: il laisse la place à une ligne continue, ceci en raison de la persistance rétinienne.
Le commutateur en bas, à gauche de TIME/DIV, permet de choisir entre différentes options de déclenchement (TRIGGER). D'une manière générale, la position adéquate sera AC.
Les autres positions (DC, HF pour High Frequency, LF pour Low Frequency et ~ pour une fréquence de 50 Hz) ne sont utilisées que pour des mesures qui ne présentent pas d'intérêt pour un débutant.
La DEL rectangulaire TRIG s'illumine lorsqu'un point de déclenchement a été détecté.
A droite de TIME/DIV, on trouve un groupe de boutons qui permettent de synchroniser l'affichage du scope avec le signal qu'on désire étudier.
Lorsque AT/NORM n'est pas enfoncé, le déclenchement est automatique. C'est la position la plus courante.
Si on enfonce AT/NORM, on utilise alors le bouton LEVEL pour visualiser le signal.
Le bouton EXT n'est enfoncé que si le déclenchement est provoqué par un signal externe présenté sur l'entrée TRIG INP (trigger input). Dans tous les autres cas, ce bouton ne doit pas être enfoncé.
En résumé, on met le scope sous tension à l'aide du bouton M/A, on laisse X-Y en position OUT (pas enfoncé), HOLD-OFF au mini, TV-SEP sur OFF, TRIG sur AC, AT/NORM sur OUT (pas enfoncé), et il ne reste plus qu'à choisir le réglage de TIME/DIV. Ce n'était donc pas si sorcier...
Passons à présent à la partie inférieure du panneau de contrôle:
Lorsque le bouton INVERT est enfoncé, le signal correspondant est inversé, de bas en haut, à l'écran. Voilà qui ressemble assez à un gadget... |
Chaque voie possède un réglage indépendant de l'échelle verticale, à savoir celle des VOLTS / DIV. Il s'agit là d'un réglage de première importance, sur lequel on sera très souvent amené à intervenir. Les positions vont de 20 V à 5 mV par division.
Un commutateur à glissière DC/AC/GND permet de choisir, pour chaque voie:
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Ces deux sorties CAL délivrent des signaux carrés d'amplitude 0,2 V et 2 V à 50 Hz, respectivement. Ces signaux sont utilisés pour vérifier que le scope est correctement calibré. |
Voilà, nous avons fait le tour des commandes et réglages disponibles. Force est de reconnaître que l'abondance des boutons et curseurs, effrayante pour un néophyte, cache en réalité une relative simplicité dès lors qu'on entend se limiter aux fonctions les plus courantes...
Utiliser un oscilloscope
Mise en route
Nous allons à présent mettre le scope sous tension et apprendre à nous en servir...
Tout d'abord, il convient de s'assurer que tous les réglages sont en position correcte; c'est une bonne habitude à prendre, surtout si l'appareil est utilisé par d'autres personnes. La "position correcte" est celle indiquée dans le mode d'emploi de l'appareil. Le plus souvent, les boutons sont sortis (pas enfoncés), les interrupteurs à glissière en position haute et les réglages fins en position centrale.
Placez maintenant les rotacteurs TIME/DIV sur la position 1 V/DIV et VOLTS/DIV sur 0,2 s/DIV, soit sa plus petite valeur de réglage.
On allume la machine en appuyant sur le gros bouton POWER. La DEL-témoin verte s'illumine et, au bout d'un instant, un spot lumineux traverse l'écran.
Essayez les contrôles Y-POS I, INTENSITY et FOCUS. Ajustez ces réglages de manière à bien centrer le spot au milieu de l'écran. Le spot doit être lumineux mais pas éblouissant, et aussi net que possible.
Voyez maintenant l'effet produit lorsque le rotacteur TIME/DIV passe de la position 0,2 s/DIV à une vitesse de balayage supérieure. Le spot traverse l'écran de plus en plus vite.
Le réglage VOLTS/DIV du canal 1 détermine, on l'a dit, l'échelle de l'axe vertical, celui des volts. Placez-le sur 1 V/DIV: chaque division verticale correspond alors à une tension de 1 volt. Assurez-vous que Y-POS I est bien centré, que INVERT (si votre modèle dispose de ce bouton) est en position normale, que le curseur AC/DC/GND est sur AC, et que les trois boutons de réglage CH1/CH2, DUAL et ADD ne sont pas enfoncés. Dans cette configuration, on ne visualise que la trace du signal 1.
Test de calibration
Nous allons à présent vérifier le calibrage du scope, en utilisant la source interne CAL prévue à cet effet (elle se trouve sous l'écran). Pour cela, nous allons d'abord relier la fiche BNC de la sonde à l'entrée CH1 (on l'enfonce, puis on tourne à droite). |
Ce test consiste, ni plus ni moins, à présenter sur l'entrée CH1 un signal carré dont l'amplitude est de 2 V et la fréquence 50 Hz. Utilisez les réglages VOLTS/DIV et TIME/DIV pour obtenir une représentation fidèle du signal, comme ci-dessous:
Vous pouvez affiner l'affichage en manipulant légèrement les boutons Y-POS 1 et X-POS. Observez l'effet (et l'utilité) de ces réglages. N'oubliez pas que les axes gradués vous permettent de mesurer des valeurs précises (amplitude en volts, fréquence ou période)!
Utiliser les sondes
Une sonde est un câble coaxial (similaire à un câble TV), terminé à une extrémité par une fiche type BNC, et à l'autre par deux fils, un rouge et un noir, reliés à des pinces crocodiles ou parfois à des pointes de touche.
Le connecteur BNC doit être inséré dans la prise du scope (CH1 ou CH2, selon le cas); on pousse, puis on tourne. La pince croco du fil noir doit être reliée à 0 V ou GND. On utilise ensuite la pointe de touche (ou la pince croco du fil rouge, suivant ce qui s'avère le plus pratique) pour tester les différents points du circuit.
Une bonne manière de se familiariser avec l'oscilloscope consiste à tester un circuit connu, de préférence très simple, par exemple un 555 monté en multivibrateur. Il est ainsi aisé de comparer le résultat obtenu à l'écran (forme d'onde, amplitude, fréquence...) et celui obtenu par le calcul. On aura alors tout intérêt à faire varier un paramètre (valeur de R, ou de C) pour observer son influence.
Lorsqu'on aura bien compris les notions de base avec affichage d'une seule trace, on exploitera au mieux les possibilités de l'appareil en affichant deux traces simultanément.
Affichage de deux traces simultanément. On peut ainsi comparer deux signaux.
L'expérience aidant, le recours au "scope" deviendra bien vite une seconde nature...
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